Paix perpétuée ou morts à perpète.

“Bien creusé, vieille taupe!” Karl Marx, le 18 brumaire de Nicolas Bonaparte.  “L’humanité ne se pose jamais que des problèmes qu’elle peut résoudre, car, à

« C’est la canaille, eh bien, j’en suis ! »

« Contentons-nous, pour l’instant, de mentionner dans cette brève préface le plus important des principes intellectuels et méthodologique qui nous paraît assurer le caractère a-historique

Paix perpétuée ou morts à perpète.

“Bien creusé, vieille taupe!” Karl Marx, le 18 brumaire de Nicolas Bonaparte.  “L’humanité ne se pose jamais que des problèmes qu’elle peut résoudre, car, à

Louis Ferdinand Destouches est un incontournable qui ronge. Pour ses partisans, l’auteur du Voyage au bout de la nuit est traité comme un chien crevé, et voué aux gémonies par des coteries jalouses et médiocres. Pourtant, force est de constater que ce Saint-Sébastien hérissé de flèches fascine tous les écrivains – et même l’ensemble de la chose littéraire.

Il n’est l’auteur que d’un seul livre, mais Joseph Ponthus s’est imposé comme un écrivain majeur. Sa mort nous prive de bijoux poétiques irremplaçables. Car “À La Ligne, feuillets d’usine” inaugure le renouveau d’une écriture d’émancipation ouvrière, et ouvre une brèche pour ceux qui entendent écrire une littérature d’immersion brutale, au cœur du monde de ceux qui œuvrent et produisent.

Les Dindenaults de la Farce

“Soudain, je ne sais comment, cela se passa vite, je n’eus pas le temps de m’en rendre compte, Panurge, sans en dire davantage, jette en

Tuer Bardamu

Louis Ferdinand Destouches est un incontournable qui ronge. Pour ses partisans, l’auteur du Voyage au bout de la nuit est traité comme un chien crevé, et

Cet avant-propos tient lieu d’avertissement : le texte qui va suivre contient des passages d’une violence terrible, des moments d’horreurs pures même, qui sont à la limite du soutenable. Infanticides, viols, cannibalisme, démembrements et dépeçages divers jalonnent ce livre. Entre deux méditations et introspections du narrateur, un mercenaire sanguinaire, rien n’est épargné au lecteur.

Kundera, le kitsch et moi

Les critiques littéraires c’est comme les brûlures : au second degré ça devient sérieux ! Dans “l’Insoutenable légèreté de l’être”, Kundera, alors coqueluche littéraire de l’Occident, défend